Je me méfie du verbe « être » qui enferme : pas de « qui suis-je? » ici.
Je préfèrerais une esquisse qui pourrait se dessiner comme un sentier en forêt : se muant, gardant ses secrets et restant bien vivant.
Mes accompagnements sont destinés à vous réconcilier avec vous-même si vous êtes un peu perdu.e et à prendre conscience que vous êtes vivant.e.
Même si souvent, c’est douloureux d’être vivant.e (surtout quand on est hypersensible), c’est aussi merveilleux. Mais pas que.
C’est le bazar en fait, la Vie ! Et je l’adore ce bazar.
Bon, mais, Catherine, tu t’éloignes de ton « portrait ».
Connaissez-vous Barbara? Comme une adorable et admirée jolie Tante, elle a nourri ma jeunesse avec force et grâce. Et je choisis ses mots à elle pour vous faire comprendre que je ne peux enseigner que ce que je vis, ce que j’expérimente là, au présent, tout simplement… A vos côtés.
« Ne pas parler de poésie en écrasant les fleurs sauvages » est un pilier de vie pour moi. Un cadre bienveillant.
« Ne pas parler de poésie, Ne pas parler de poésie, En écrasant les fleurs sauvages » Barbara, Perlimpinpin
Depuis toujours j’aime rire et j’aime « les gens ».
Mais en même temps, dès l’enfance, je perçois la finitude de tout cela.
Or je ne comprends pas, petite, qu’à 7 ou 8 ans je sois seule à me dire : « un jour nous mourrons. Est-ce que cela ne vaut pas le coup de rire de cette vie et d’être bien ensemble là maintenant ? N’est-ce pas cela l’important? Ou doit-on, en plus, subir les moments pénibles ?».
On ne parlait pas d’ « hypersensibilité » à l’époque.
Je ne découvrirai que récemment que toute mon « intensité« , toutes mes impressions de ne pas être de cette planète, toutes mes déchirures et mes extases, tout mon regard très clair sur la dureté de la vie, l’importance de la joie et l’empathie font partie des traits découverts par cette psychologue américaine, Elaine Aron : the Highly Sensitive Person (HSP) = la personne UltraSensible.
Donc, premier coup de crayon: je suis une thérapeute spécialisée dans l’Utrasensibilité (en France, les gens disent à tort « hypersensibilité » mais c’est la même chose).
Cette façon de faire, enfant, avec ma vie était déjà très empirique : je remplaçais mon ressenti de tristesse et de peur de notre fin de vie, par un sentiment de joie et de confiance. Ce n’est que bien plus tard que j’ai vu combien c’était SophroLOGIQUE. Second coup de crayon : Je souris de m’appeler la Madame Jourdain de la Sophro !
Donc, premier coup de crayon: je suis une thérapeute spécialisée dans l’Utrasensibilité (en France, les gens disent à tort « hypersensibilité » mais c’est la même chose).
Cette façon de faire, enfant, avec ma vie était déjà très empirique : je remplaçais mon ressenti de tristesse et de peur de notre fin de vie, par un sentiment de joie et de confiance. Ce n’est que bien plus tard que j’ai vu combien c’était SophroLOGIQUE. Second coup de crayon : je ris de m’appeler la Madame Jourdain de la Sophro !
En rencontrant des médecins sophrologues, j’ai réalisé que je n’étais pas seule passionnée par ces intentions de ne pas seulement subir le « négatif ». Je pouvais agir. Et ils en avaient même fait une profession !
Je découvre ébahie l’application de la phénoménologie, l’importance du non jugement, la recherche d’un nouveau regard sur notre vie à partir de nos ressentis et le choix toujours possible de la quête de la joie appliquée concrètement dans nos vies.
Exigeante, je me forme alors à la sophrologie avec son fondateur, Monsieur Caycédo.
Depuis plus de 25 ans, j’ai pu appliquer ce que j’avais appris à des personnes aux parcours difficiles, comme avec des personnes lourdement handicapées ou qui vivaient à la rue et pratiquaient la sophrologie parce que cela leur faisait du bien, concrètement.
Et c’est toujours cela qui m’intéresse par-dessus tout : que la découverte de la pratique change quelque chose réellement dans Votre Vie.
Moi, elle m’a permis de danser ma vie avec mon handicap. De trouver la paix avec mon handicap. De retrouver ma Joie lorsque je l’avais égarée. De préserver mon vieux couple. Et ce qui me nourrit aujourd’hui c’est ce défi à chaque fois renouvelé de vous aider à trouver VOTRE chemin de paix.
La paix… Je l’ai aperçue un jour comme un pays VERS lequel nous pouvons tous aller et cette image ne m’a pas quittée. Sauf que ce pays est en nous, dans nos poumons, notre sang, nos cellules. C’est beaucoup plus simple qu’on ne croit ! (Mais simple ne veut ni dire « facile », ni « évident »). Simple a ici la couleur de humble, son vieux cousin. Ma moelle est pas mal fichue et je bouge plus que ce que je devrais : c’est tout naturellement que je me suis tournée vers les recherches en Neurologie pour comprendre, découvrir comment la communication passe alors que la transmission est quasi coupée !
Troisième trait pour mon esquisse : j’adore transmettre à mes clients.es ce que je suis si excitée d’apprendre sur notre Biologie !
En 2016, je découvre la richesse infinie du Mindful Self Compassion, enseigné à l’Université d’Austin (Texas, États-Unis) par Kristin Neff. Des années plus tard, je reste ébahie par ses effets concrets dans ma Vie personnelle et professionnelle. La compassion m’aide à guérir à vitesse Grand V de toutes mes écorchures d’Ultrasensible.
Dernière touche à cette esquisse pour décrire mon travail : sans la Nature, les arbres et le ciel dans ma ville ou à la campagne et sans la richesse infinie de l’Art sous toutes ses formes qui nourrit de grâce ma ville et mon cœur, ma pratique serait bancale.
C’est cette énergie que j’ai envie de vous transmettre en vous offrant la possibilité de pratiquer au Musée.
J’ai envie de vous accompagner pour vous révéler (de vous à vous) la belle lumière que vous êtes mais d’une autre façon. D’où mon Sophro-Musée ! Comme autant de propositions de jouer avec vous-même….
Vous l’aurez compris, j’aime voir la vie comme un jeu sérieux où l’humour est une respiration, la Joie, une Résistance et l’affection une source d’énergie.
Tant que je serai vivante, j’aurai de l’énergie et probablement toujours cette envie de transmettre et d’accompagner mes clients.es.
Donc pour finir ce portrait, là il me plaît d’ajouter que je me sens aussi Entrepreneuse passionnée qui se voit bien travailler avec plaisir jusqu’à ses 120 ans… Et m’arrêter avant, si je suis fatiguée.
Mais en attendant, j’accompagne les Entreprises à lutter contre le stress et à retrouver une saineénergie de travail et de réussite.